Salut Christophe, belle opportunité que tu as su saisir. J’envie ton bureau et aussi ton outil de travail qui semble avoir mis la technologie moderne au service des images du passé.
Je m’abonne au flux RSS pour suivre de près ton aventure. A tout bientôt !
Hello Cédric. En effet, on bosse avec une base de données d’enfer qui gère plus de 100000 documents en un claquement de doigt, avec des dizaines de champs référencés. On réfléchit même à une géolocalisation automatisée des images… Trop bien, la technologie actuelle: on identifie des lieux avec Street View, on lit des vieux bouquins scannés par Google books, on accède aux bibliothèques en ligne! Que du bonheur! A très bientôt
Pas un jour sans la notion de géolocalisation … et dire que je commençais d’essayer de la vendre aux communes gruériennes il y a 20 ans ! Jamais je n’aurais pensé qu’il faudrait 2 décennies pour qu’elle devienne un usage commun.
Ta notion du bonheur googlien mériterait d’être analysée … Heureusement que tu peux parler aussi du bonheur du ramasseur de feuilles à tes enfants.
Salut Christophe, belle opportunité que tu as su saisir. J’envie ton bureau et aussi ton outil de travail qui semble avoir mis la technologie moderne au service des images du passé.
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Hello Cédric. En effet, on bosse avec une base de données d’enfer qui gère plus de 100000 documents en un claquement de doigt, avec des dizaines de champs référencés. On réfléchit même à une géolocalisation automatisée des images… Trop bien, la technologie actuelle: on identifie des lieux avec Street View, on lit des vieux bouquins scannés par Google books, on accède aux bibliothèques en ligne! Que du bonheur! A très bientôt
Salut Christophe,
Pas un jour sans la notion de géolocalisation … et dire que je commençais d’essayer de la vendre aux communes gruériennes il y a 20 ans ! Jamais je n’aurais pensé qu’il faudrait 2 décennies pour qu’elle devienne un usage commun.
Ta notion du bonheur googlien mériterait d’être analysée … Heureusement que tu peux parler aussi du bonheur du ramasseur de feuilles à tes enfants.